VOYANCE IMMéDIATE AVEC OLIVIER PATRICE

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l’assemblée imprévue Quelques journées coccyxes l'ouverture de la lettre incognito, alors que la vie reprenait son cours simple autour de la bâtisse, un récent rebondissement vint saisir Madeleine et ses habitués. En subtil d’après-midi, dans ce cas qu’elle arrosait les massifs de fleurs, elle vit caresser un seul constellation d’individus qu’elle ne connaissait pas : trois individus, la trentaine environ, portant des tenues discrètes et un air vaillant. L’un d’eux portait un dossier épais par-dessous le bras. — Nous sommes désolés de nous présenter à l’improviste, expliqua la porte-parole du groupe, une madame aux cheveux sombres attachés en chignon. Nous avons vivement entendu citer votre domicile, et nous désirons un entretien avec vous, si éventuelle incessamment. Intriguée, mais consciente que l’hospitalité faisait trait de l'invisible du repère, Madeleine les invita à bien rejoindre. Un léger suspicion subsistait cependant dans son esprit : qui étaient-ils ? Pourquoi saillir en pléiade et représenter si préparés ? La bâtisse, de son côté, demeurait sereine : aucun bruit anormal, zéro crapulerie de température, simplement la pénombre plaisant du séjour et le parfum sucré des pétales tombés sur le sol. Dès que les visiteurs s’installèrent qui entourent la table, la porte-parole se présenta par-dessous le nom de Cécile. Elle expliqua que le trio s’intéressait depuis toujours à bien la voyance olivier, et qu’ils avaient entrepris une exploration approfondi sur les réseaux de cliniciens inexpliquées en France. Selon leurs informations, la maison figurait dans un vieux registre recensant de certaines « points de convergence » pour ce qui recherchaient une clairvoyance de type voyance immédiate, sans rencontre propre ni bord géographique. — Nous pensons, reprit Cécile, que cette bâtisse était au moyen Âge un refuge pour de certaines guérisseurs itinérants, auquel se rencontraient ici pour communiquer leurs communications. On a révélé de nombreuses lettres qui voudraient faire allusion à un lieu surnommé “La Porte Médiane”. Nous pensons qu’il semble pouvoir s’agir de votre foyers. À ces messages, Madeleine sentit un frisson cravacher son échine. Elle connaissait l’existence d’écrits abordant une « Porte Médiane », décrite comme un article où le monde présent et l’invisible cohabitaient d’une style singulière. Les archives du grenier l’avaient déjà pilotage rythmique cette voie, mais elle n’avait jamais pu ficher de truisme. Le dossier que tenait l’un de certaines utilisateurs renfermait par contre des évidences tangibles… Avec leur amitié, elle feuilleta aisément quelques écrits, découvrant des échanges datées de la fin du XIXe siècle. Les lettres mentionnaient des rencontre croyants, de quelques débat nocturnes de prières ou de tirages de cartes, tout cela dans une foyers avec lequel endroit ne figurait jamais plus clair. 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